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Le Miroir du vide, en re(dé)construisant l’absoluité des mythes, devise sur les impondérables des impliqués du soi dont l’essence est qu’il est fonction tant de son autre (un alter ego) que de son autre soi-même (ego alter), deux vides indivis aux dimensions de totalités qui se font écho ; et, au bout de ces vides en miroirs, Narcisse ne meurt plus d’avoir aimé son image, mais vit de cette image et, qui plus est, de cet amour qui n’est guère rassasiement de soi ; et qui, tant, n’est pas suffisance ; mais, bien au contraire, ardeur ascétique ! Kalenge Yamukena Yantumbi Lubumbashi, le 27 octobre 2017