Prix public : 11,00 €
" Conscients du caractère névralgique de l'argent, les États membres de la CEMAC mettent un point d'honneur dans l'assainissement de leur environnement financier. Des règles de droit appropriées et efficaces doivent être mises sur pied afin de juguler la montée du délit de blanchiment des capitaux. Cette initiative ne peut être réalisée que par une véritable intégration juridique donnant lieu à des instruments juridiques et judiciaires communs à l'instar du traité OHADA, qui a créé des règles communes simples, modernes et adaptées à la situation des économies des États membres. La réaction et l'action des États membres de la CEMAC face au blanchiment d'argent sont d'autant justifiées et opportuns que ce phénomène est assimilable à un "virus" qui détruit le système financier, la déontologie dans la pratique des affaires et émousse les économies nationales. "