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« Le Conseil de Sécurité des Nations Unies était quasiment en passe d'imploser. Quelque part les pays africains continuaient de contester la position mondiale, engagée contre les africains, à propos de la destruction commise par le Wonga. Ils n'étaient pas responsables de ce qu'il avait fait, – parce qu'il était un planétariste comme n'importe qui, tout le monde était citoyen du monde. Cependant, il était anachronique de ressasser l'histoire antérieure, pleine de clichés, en cette époque actuelle. Une époque des lumières universelles. Voilà pourquoi, ils ne comprenaient pas cette politique sécuritaire qui se traduisait ainsi. Le monde était devenu un seul territoire gouverné par le Gouvernement mondial… »