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Face à la nouvelle forme de « menace » que représentent les cyberattaques, certains États envisagent sérieusement de riposter au nom de la légitime défense (conventionnelle), qualifiant cette « menace » d'acte d'agression, par une espèce d'analogie.Grâce à une approche critique, l'auteur tente de démontrer l'illicéité d'une telle invocation, quoique soutenue par certains auteurs, dont les plus connus sont les partisans du Manuel de Tallinn. Il finit en proposant de nouvelles perspectives pour concilier la notion de légitime défense conventionnelle et la nouvelle donne que constituent les cyberattaques.