Prix public : 22,00 €
Après avoir été "Libre" pour écrire sur les chemins du monde, l'écrivain voyageur parcourt l'Afrique, pour s'affirmer "Bien vivant" A 52 ans, l’auteur décide de changer radicalement de vie. Il arrive à céder sa société en difficulté et prend une décision radicale: se débarrasser de tout ses biens pour limiter ses possessions à ce qui tient dans un sac de voyage, et partir. Loin. Pour découvrir le monde et écrire. Après l’Amérique du Sud, sujet principal de son premier livre, Frédéric Pie est parti presque un an sur le continent africain. Sénégal, Malawi, Bostwana, Lesotho, Afrique du Sud, Mozambique, Zambie... Seul, d’abord à pied puis en Land Rover, dans des pays désertés par les touristes, bloqués par la Covid-19, il a choisi de se perdre dans des paysages à couper le souffle, cherchant le contact avec les habitants partout où il allait, arpentant les quartiers où, seul blanc, son passage attirait l’attention et, chaque fois, la générosité. Les aventures se succèdent, qu’elles soient liées aux rencontres, aux aspects kafkaiens des administrations, ou aux caprices de la vieille anglaise le trimballant de pannes en pannes. Et, toujours, il a écrit. Magnifiquement. Une qualité littéraire dans la ligne des maîtres Bouvier et Chatwin: un véritable écrivain. en difficulté et prend une décision radicale: se débarrasser de tout ses biens pour limiter ses possessions à ce qui tient dans un sac de voyage, et partir. Loin. Pour découvrir le monde et écrire. Après l’Amérique du Sud, sujet principal de son premier livre, Frédéric Pie est parti presque un an sur le continent africain. Sénégal, Malawi, Bostwana, Lesotho, Afrique du Sud, Mozambique, Zambie... Seul, d’abord à pied puis en Land Rover, dans des pays désertés par les touristes, bloqués par la Covid-19, il a choisi de se perdre dans des paysages à couper le souffle, cherchant le contact avec les habitants partout où il allait, arpentant les quartiers où, seul blanc, son passage attirait l’attention et, chaque fois, la générosité. Les aventures se succèdent, qu’elles soient liées aux rencontres, aux aspects kafkaiens des administrations, ou aux caprices de la vieille anglaise le trimballant de pannes en pannes. Et, toujours, il a écrit. Magnifiquement. Une qualité littéraire dans la ligne des maîtres Bouvier et Chatwin: un véritable écrivain.