Prix public : 22,50 €
À cinquante-cinq ans, le commissaire Arcadipane tourne en rond et craint d’avoir à nouveau perdu ce flair qui le guidait dans ses enquêtes. Pourtant, quand une femme est rouée de coups sans raison à la sortie d’une station du métro de Turin et que le coupable est arrêté dans la foulée, c’est bien son instinct qui lui souffle que quelque chose sonne faux dans ce fait divers cousu de fil blanc. Il fait appel à son ancien chef et mentor, Corso Bramard, et à l’incontrôlable agente Isa Mancini, qui le met en contact avec un étrange ex-flic, aussi obsessionnel qu’illuminé, Luigi Normandia. Ensemble, ils découvriront les règles d’un jeu tordu et létal : une plongée dans le monde immergé de la Toile qui, cercle après cercle, les mènera jusqu’aux eaux noires où la lumière n’arrive jamais et où les affaires se traitent à l’abri des regards. Traduit de l’italien par Marianne Faurobert « Une Colère simple » troisième tome d’une série commencée avec « L’Affaire Bramard », est un super antidote au conformisme ambiant. » La vie en noir « Le récit – qui jusqu’ici louvoyait entre deux belles descriptions de Turin et les pittoresques mésaventures d’Arcadipane sur un site de rencontres – soudain s’accélère. Et trouve son rythme de croisière. Plus soudée que jamais, la fine équipe finit par découvrir la cause d’une série de suicides et de morts suspects: un jeu mortifère et pervers enfoui au plus profond d’Internet. Pas de doute, le dark web a ces temps-ci la cote au royaume du bon polar ! » Le Temps « Tout en déroulant une intrigue complexe, Davide Longo évoque ainsi, de manière particulièrement originale, des sujets tels que l’amitié, le poids de l’âge, les désillusions de la vie, les dérives des moyens de communication contemporains, la dilution de la frontière entre le bien et le mal… Un polar déroutant et passionnant, invitant plus que jamais à réfléchir au monde dans lequel nous vivons. » Le Soir « Davide Longo, c’était en début d’année la coqueluche des médias transalpins qui l’annonçaient comme la star du nouveau polar italien. On l’a découvert avec les deux premiers épisodes d’une série intitulée “Les crimes du Piémont” : L’Affaire Bramard et Les jeunes fauves, deux polars que l’on avait déjà beaucoup aimés. Cette troisième enquête, Une colère simple, confirme à nouveau que la réputation de la nouvelle star du polar italien est loin d’être usurpée : c’est vraiment une plume de grand talent. » Benzine « Cette fiction tient d’abord par l’écriture de Davide Longo, un romancier, auteur de théâtre, documentariste et enseignant. L’homme aime les citations, les digressions, les personnages anticonformistes, étalant une culture littéraire du meilleur goût. Les amateurs d’enquêtes bien cadrées n’y trouveront pas leur compte mais si on apprécie la fantaisie, la mélancolie d’une aube prometteuse et les histoires d’amour entre un flic dépressif et une psy invalide, tout redevient possible. » Libération « Autre très bonne surprise, le retour de Davide Longo avec Une colère simple (Le Masque/Lattès). Après L’Affaire Bramard, où il mettait en piste l’ancien commissaire Corso Bramard, il se concentre cette fois, comme dans Les Jeunes Fauves, sur son "héritier", Vincenzo Arcadipane. Quinquagénaire désabusé qui redoute d’avoir perdu son flair, il promène ses états d’âme dans les rues de Turin jusqu’à ce qu’un fait divers inhabituel relance ses talents d’enquêteur. » L'Express « Si l'on a plutôt envie de se plonger dans l'atmosphère de villes étrangères fascinantes, l'Italien Davide Longo brosse un portrait attachant et nostalgique de Turin. » Les Echos