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Enfants nés de mères maintenues en vie artificiellement, commercialisation de cellules tirées du corps humain, rémunération de mères porteuses, demandes de suicide assité : où en est aujourd’hui le droit français face à ces situations extrêmes, liées aux manipulations du vivant, qui défraient régulièrement la chronique ? Les avancées de la technologie biomédicale ont bouleversé les seuils longtemps intangibles de l’existence humaine, modifiant de façon radicale notre regard sur la procréation, la gestation, la vie, la mort. La transgression inhérente à l’avancée de ces connaissances doit-elle comporter des limites quand elle touche à l’intégrité du corps humain et de la personne ?