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Le tabou de la victimisation des aîné(e)s est-il sur le point de tomber, au même titre que sont aujourd'hui considérées comme inacceptables les autres formes de violences au sein de la famille? Le drame de la canicule meurtrière de l'été 2003 l'exige. Impérativement. A la violence de l'indifférence sociale, intolérable, doit être substitué d'urgence un programme ambitieux de bientraitance des aîné(e)s les plus vulnérables. Ce n'est pas qu'une question de solidarité nationale mais avant tout une authentique mission républicaine de service public.