Prix public : 24,40 €
Ce livre n'est pas un énième ouvrage sur la maladie d'Alzheimer. Il constitue une avancée décisive dans la compréhension des mécanismes physiopathologiques qui conduisent à cette redoutable maladie neuro-dégénérative et, au-delà, à toutes les autres maladies dites de stress oxydatif. A partir des dernières avancées de la biochimie, de la toxicologie et de la nutrition cellulaire, l'auteur démontre comment la diminution de la biodisponibilité du calcium, induite par certains corps présents dans notre environnement, conduit à une déminéralisation puis à un ralentissement métabolique progressif et, in fine, à la mort cellulaire : sans calcium intracellulaire (et donc sans magnésium extracellulaire), il n'y a pas de transmission de l'influx nerveux et donc pas de vie cellulaire. Ce ralentissement métabolique (via les radicaux libres oxygénés) est le prix à payer par l'organisme pour tenter d'éliminer ces molécules étrangères. Dans la ligne des travaux de Jean Seignalet, l'auteur montre que notre alimentation ne doit pas être comprise dans un sens restrictif comme une simple ingestion de nourriture mais doit envisager toutes les substances qui traversent quotidiennement le tube digestif (aliments, médicaments, voire produits toxiques environnementaux). Cette vision toxicologique globale rappelle étrangement des principes fondateurs de l'homéopathie, qui n'est autre qu'un recueil de toxicologie expérimentale. La nutrition apparaît alors comme le chaînon qui manquait à l'homéopathie. C'est ce nouveau concept physiopathologique de la nutri-homéopathie qui a présidé à la rédaction de cet ouvrage.