Prix public : 7,00 €
Le souffle lyrique de Rodrigue Makaya Makaya, nous pénètre comme un cimeterre acéré. Dans cette envolée de mots crûment lapidés sur le faciès de notre conscience, il nous révèle le mal être de l'aède, témoin intemporel d'un monde qui chante l'iniquité, l'amoralité ou la paillardise d'une société dévoyée. Ainsi, dans cette pénitence, dans cette destinée de procès, il chante, l'amour pour panser son regard chiffonné, offusqué : « Un peu d'amour, un peu d'amour voilà ce qui m'arrose... ».