Prix public : 32,00 €
<p>À qui attribuer un crime de guerre lorsque le contexte engage des collectifs (bataillons, foules ou organisations résistantes...) ou lorsque les actes commis ont été ordonnés par des supérieurs hiérarchiques ? Comment prendre en considération le fait que la guerre peut être traumatisante pour les soldats, sans pour autant en venir à excuser les actes commis ? Il faut pourtant bien arriver à démêler les fils de ces questions, car elles sont d'une importance capitale non seulement au sein des procès internationaux, mais aussi dans le contexte de reconstruction d'après-guerre et, bien sûr, dans une optique de prévention.</p>