Prix public : 25,00 €
Depuis une vingtaine d’années, Anne Roche séjourne régulièrement en Algérie et fréquente les milieux littéraires. Membre du jury du prix Mohamed Dib, décerné à Tlemcen (ville natale de Dib), elle suit de près l’évolution de cette littérature qui porte en elle-même autant un questionnement de la mémoire du passé colonial et la violence de la guerre d’indépendance, que les échos et les marques des décades qui ont mené à la guerre civile des années 1990. On sent évidemment à quel point cet ouvrage est d’actualité et porte un éclairage fin et sensible sur ce qui fait aujourd’hui l’Algérie, de nouveau plongée dans une période d’incertitude. Si ses analyses proposent une lecture inédite des œuvres de Mohamed Dib, Assia Djebar, Kateb Yacine, Nabile Farès, Mouloud Mammeri ou Tahar Djaout, elles font également découvrir d’autres auteur.e.s moins connu.e.s dans l’hexagone. L’ouvrage est introduit par une préface d’Afifa Berehri, spécialiste renommée de la littérature francophone algérienne et professeure de littérature à l’université d’Alger. Puis, Anne Roche pose la problématique des littératures issues d’un contexte colonial & postcolonial en retraçant leur évolution vers une singularisation de la littérature française. Dans la deuxième partie, intitulée « lectures rapprochées », elle décrypte les mutations et les spécificités de la littérature des première et deuxième générations, consacrant une réflexion conséquente à la littérature féminine. La troisième partie met en dialogue l’Algérie vue par les Français à travers la littérature et, notamment, les Arabes vus par des Pieds-Noirs. Depuis une vingtaine d’années, Anne Roche séjourne régulièrement en Algérie et fréquente les milieux littéraires. Membre du jury du prix Mohamed Dib, décerné à Tlemcen (ville natale de Dib), elle suit de près l’évolution de cette littérature qui porte en elle-même autant un questionnement de la mémoire du passé colonial et la violence de la guerre d’indépendance, que les échos et les marques des décades qui ont mené à la guerre civile des années 1990. On sent évidemment à quel point cet ouvrage est d’actualité et porte un éclairage fin et sensible sur ce qui fait aujourd’hui l’Algérie, de nouveau plongée dans une période d’incertitude. Si ses analyses proposent une lecture inédite des œuvres de Mohamed Dib, Assia Djebar, Kateb Yacine, Nabile Farès, Mouloud Mammeri ou Tahar Djaout, elles font également découvrir d’autres auteur.e.s moins connu.e.s dans l’hexagone. L’ouvrage est introduit par une préface d’Afifa Berehri, spécialiste renommée de la littérature francophone algérienne et professeure de littérature à l’université d’Alger. Puis, Anne Roche pose la problématique des littératures issues d’un contexte colonial & postcolonial en retraçant leur évolution vers une singularisation de la littérature française. Dans la deuxième partie, intitulée « lectures rapprochées », elle décrypte les mutations et les spécificités de la littérature des première et deuxième générations, consacrant une réflexion conséquente à la littérature féminine. La troisième partie met en dialogue l’Algérie vue par les Français à travers la littérature et, notamment, les Arabes vus par des Pieds-Noirs.