Prix public : 19,00 €
Ce livre est le cinquième que René Pommier consacre à Freud et ce sera le dernier. Malgré le goût que ce polémiste impénitent a pour les sornettes, celles de Freud lui sortent maintenant par les yeux. Il examine dans ce livre la dernière des Cinq Psychanalyses, celle de l’Homme aux loups. Elle a fait l’objet de très nombreux commentaires, mais personne ne s’était encore donné la peine d’en faire une étude exhaustive en suivant le texte de la première page à la dernière. Cette démarche peut seule donner une juste idée du degré incroyable d’extravagance et d’absurdité auquel Freud est parvenu dans ce qui est sans doute son chef-d’œuvre. Mais elle peut lasser la patience du lecteur. Aussi René Pommier a-t-il sans cesse essayé d’égayer ses analyses en se livrant à des remarques bouffonnes que les obsessions de Freud suscitent assez facilement. À l’exception des freudiens dont aucun argument ne saurait ébranler la foi, les lecteurs, en découvrant le portrait que fait Freud du petit Sergueï, se laisseront aisément convaincre qu’il ne peut être que le produit d’une imagination complètement déréglée. Les freudiens sont tous convaincus que Freud est un géant. Ils n’ont pas tort : il est assurément un géant, mais seulement dans le monde des déjantés. Ce livre est le cinquième que René Pommier consacre à Freud et ce sera le dernier. Malgré le goût que ce polémiste impénitent a pour les sornettes, celles de Freud lui sortent maintenant par les yeux. Il examine dans ce livre la dernière des Cinq Psychanalyses, celle de l’Homme aux loups. Elle a fait l’objet de très nombreux commentaires, mais personne ne s’était encore donné la peine d’en faire une étude exhaustive en suivant le texte de la première page à la dernière. Cette démarche peut seule donner une juste idée du degré incroyable d’extravagance et d’absurdité auquel Freud est parvenu dans ce qui est sans doute son chef-d’œuvre. Mais elle peut lasser la patience du lecteur. Aussi René Pommier a-t-il sans cesse essayé d’égayer ses analyses en se livrant à des remarques bouffonnes que les obsessions de Freud suscitent assez facilement. À l’exception des freudiens dont aucun argument ne saurait ébranler la foi, les lecteurs, en découvrant le portrait que fait Freud du petit Sergueï, se laisseront aisément convaincre qu’il ne peut être que le produit d’une imagination complètement déréglée. Les freudiens sont tous convaincus que Freud est un géant. Ils n’ont pas tort : il est assurément un géant, mais seulement dans le monde des déjantés.