Prix public : 26,00 €
Dans un ouvrage précédent, Les dieux du crépuscule, Alexis Arette avait tenté de démontrer que les idéologies contemporaines dérivaient toutes d’antiques hérésies qui s’écartèrent de la tradition monothéiste. Après une controverse publique avec le philosophe païen Alain de Benoist, il lui parut que le débat ne pouvait se tenir sur le seul plan philosophique, mais que le monothéisme chrétien pouvait être historiquement fondé, non plus exclusivement sur la tradition hébraïque, mais encore sur la quantité d’indices conservés par le paganisme, de même que sur l’émergence de la logique gréco-latine. Saint Augustin, Péguy, et Simone Weil, entre autres, avaient pressenti que le christianisme récapitulait l’espérance humaine. Le présent ouvrage tente, par une approche originale des croyances antiques, de retrouver les chemins qui conduisent au Père créateur et miséricordieux. Il fait également la part des religions divergentes qui ont prétendu sanctifier le meurtre sacrificiel, pour montrer la permanence jusqu’à nos jours du Satanisme dans l’histoire. Ce livre est également un appel aux incroyants sincères et aux païens qui refusent les échéances du matérialisme, pour faire face à la monté du quiétisme, qui, à travers le « new-age », cache mal l’ambition planétaire de celui qui fut « homicide dès le commencement… » Il dénonce de ce fait la planification « mondialiste » qui en privant l’homme de sa dimension personnelle en fait un insensé (…)