Prix public : 15,00 €
Avec des photographies de Djamel Meskache. Préface de James Sacré : "Le chasseur de mots sait où le lièvre gîte, mais l'a-t-il jamais vu ? Et quelle enfance est tue (tuée ?) avec le mot "lièvre" qui remplace l'animal ? Elle n'en finit pourtant pas de disparaître et de persister dans une vie d'adulte qui désespère de n'être jamais plus cette enfance. Dans la vie du poème ? "La mobilité des mots" (rythme et "souffle qui continue" même avec ses "silences blancs") "va son chemin". Les poèmes de Maxime Lavisky sont sans illusion : il n'y aura pas de lendemain qui chante, mais les mots chantent maintenant. Et s'ils ne chantent pas "juste" "rien ne meurt" pour autant : les poèmes sont des mots vivants où sans doute gîte un lièvre ; le voyez-vous pas ?"