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Sandrine Rousseau, Marine Tondelier, Jean-Marc Jancovici, tous nous alertent sur la fin du monde. Pour l’éviter, il faudrait ne plus voyager, manger végétarien, ne plus faire d’enfant, ne plus rouler en voiture. Bref, revenir deux cents ans en arrière. Mais comme ce régime drastique ne plaît pas aux citoyens, nos ténors d’un monde plus vert en appellent à l’autoritarisme, à la dictature.Une déviance qui vient de loin, de la lutte contre le progrès et les Lumières qui a connu son point d’orgue au XXe siècle avec le nazisme et Polpot grands défenseurs des droits de la nature. Il est temps d’établir la généalogie de l’écologisme politique et de mesurer les risques qu’il présente. Allons-nous subir les affres d’un fascisme vert ? C’est le danger que nous encourons aujourd’hui.En effet, contre vents et marées, j’affirme que l’écologie constituée en idéologie et en parti n’a pas sa place en politique. Non que je conteste le réchauffement climatique. […]Ce que je conteste haut et fort, ce sont les velléités d’imposer la régression à l’ensemble de la population. C’est la culpabilisation permanente et outrancière des pauvres bougres qui empruntentles voies aériennes pour rejoindre leur famille à la Guadeloupe ou au Portugal une fois l’an lors des migrations estivales.