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« L’idée première de cette étude nous est venue en 1965 à la bibliothèque de l’Université de Pékin, en consultant quelques-uns des albums Miao manuscrits et enrichis de nombreuses illustrations à l’aquarelle, qui s’y trouvent conservés. Ces albums avaient l’air assez documentés, à première vue du moins, sur les populations non-Han du Gui zhou et, fait encore plus intéressant, ils apparaissaient comme le résultat d’une réflexion ethnologique sur ces populations… »Claudine LOMBARD-SALMONSommaireAvant-proposAbréviationsNote sur la transcription utiliséeNote sur les mesures de longueur, de surface, de poids et de capacitéNote sur la présentation du texteNote sur les toponymes de Gui zhou et Qian zhongIntroduction I. Le sud-ouest entre les ethnologues et les historiens II. Les Sources III. La région du Gui zhou jusqu’à la fin du XVIIe s. IV. L’intérêt des esprits pour le Sud-ouest avant 1650Chapitre Premier. – Le cadre naturel I. Relief et climat II. De précieuses ressources naturelles III. Les voies de communicationChapitre II. – Les populations Miao Amphibologie du terme Miao Autres difficultés posées par la terminologie ethnique chinoise. L’analyse de W. Eberhard et ses limites Une nouvelle tentative I. Les Miao proprement dits II. Les Luo luo ou Yi III. Les Ge lao IV. Les Zhong jia ou Bu yi V. Les Yao VI. Les DongChapitre III. – L’implantation économique des Han I. La conjoncture au début du XVIIIe s. II. La situation démographique III. L’implantation agricole IV. L’exploitation des mines V. Les activités commerciales VI. Vers la création d’une monnaie provincialeChapitre IV. – L’ordre Han I. Vers une nouvelle administration II. Guerres de conquête et grands soulèvementsChapitre V – Des villes de colons I. Nombre et répartition des villes II. Des villes « bastions » III. Des villes Han IV. Appréhension d’un nouveau cadre V. La connaissance des MiaoConclusionAppendicesTextes chinois traduits en cours d’ouvrageBibliographieIndexTable des cartesTable des planchesTable des matièresPlanchesCartes