Prix public : 15,00 €
Mirios Hakkas croyait à un monde plus juste : il fut broyé, comme tant d'autres, entre le pouvoir de droite et les caciques de son parti. Puis ce fut la lutte finale : un vain combat contre le cancer. Mort à 40 ans, Hakkas n'a laissé que trois livres, dont voici les deux derniers. Les nouvelles du Bidet (1970) et des Cénobites (1972). Traduit du grec par Noëlle Bertin, Yseult Dimakopoulos, Dominique Dourojeanni et Michel Volkovitch.