Prix public : 14,70 €
Véronique Ottavi ne s'aime pas. Romancière, elle se dédouble en écrivant sous deux identités différentes. Mais elle ne peut tromper Matthieu, l'éditeur, qui la démasque. C'est le début d'une passion et d'une longue souffrance, car Véronique doute de tout. Matthieu, lui, ne cesse de fuir : dans l'opium, la séduction, l'absence à soi-même et aux autres. Le dernier été russe parle de l'impossibilité d'aimer, des blessures qui ne guérissent pas, de la toute-puissance des mères et de la faiblesse des hommes. C'est aussi une peinture du milieu de l'édition, et un voyage sur les pas de Véronique Ottavi, jamais en repos.