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Le 18 mars 1896, la Vierge apparait vêtue de blanc, dans la position de l’Immaculée Conception, à des enfants qui faisaient leur examen de conscience pour se préparer à la confession. La Vierge continue ses visites aux soixante écolières et aux religieuses, qui, le 26 juillet, voient une basilique magnifique. Plus tard, s’adressant à Marie Martel (1872-1913), Notre-Dame demande de prier Jeanne d’Arc (1901) et elle lui dit: «Il faut prier pour le futur Roi… et pour le Souverain Pontife… La République va tomber: c’est le règne de Satan! Un autre monde et un autre règne vont venir… Viendra un règne tout nouveau.» (3 mai 1903). Apparaissent aussi le Sacré-Cœur, de grands signes dans le ciel, et la Sainte Famille en prière. Le futur roi n’impose pas sa foi, il en montre l’exemple. L’Evangile lui montre la voie de la justice, et de cette douceur dont ce monde a tant besoin, parce que le jugement du monde ne lui appartient pas: seule la venue glorieuse du Christ jugera et anéantira l’Antichrist et ses suppôts (2 Th 2,8), inaugurant sur la terre ce que saint Irénée appelait le Royaume des justes, devant préparer l’éternité dans les cieux. Notre époque, plus consciente de la «dictature du relativisme» qui règne en nos démocraties républicaines, et mieux formée sur la question de l’eschatologie, sera-t-elle à même de comprendre la pertinence et l’actualité du message de Tilly-sur-Seulles?