Prix public : 22,35 €
Roman hybride parce qu'il est un lieu de multiples échanges qui exposent une page tragique méconnue de l'histoire algérienne, Le Dernier Refuge oppose au récit politique angoissant la voix profondément humaine d'un écrivain qui n'a de cesse de jeter des ponts entre des cultures d'horizons différents, algérienne et québécoise. Suzanne Giguère, Le Devoir Un roman qui vous rappelle les horreurs qu'a vécu l'Algérie et qui permet par ricochet de réfléchir à la situation présente. Une guerre coloniale horrible qui ne peut nous empêcher de songer aux atrocités qui marquent l'histoire de l'humanité. Un voyage initiatique où Houria se forge une identité et une personnalité. Une écriture somptueuse qui vous emporte dans des contrées arides où il est possible de croire au bonheur et à la paix. Toujours juste et émouvant. Yvon Paré, Progrès-Dimanche Cet auteur modèle les phrases comme un orfèvre délicat, il entoure chaque personnage d'une aura fine d'allusions, d'images, [...] sa prose nous montre un visage qui révèle plutôt la tendresse cachée derrière le voile des traditions, parfois de l'obscurantisme. La vie de ses héros est morcelée par des guerres, par des complexes nationaux [...]. Benlabed se garde toutefois de tomber dans l'excès. Ses proses n'ont pas l'intention de tout dire, mais de lever un petit peu le voile qui couvre l'âme de ses personnages. Felicia Mihali, Terra Nova.