Prix public : 25,70 €
À partir d'un corpus de textes parus entre les années 60-90, Simone Grossman montre que le regard est un vecteur de la littérature fantastique québécoise, photographie et peinture devenant des mediums du fantastique. L'insertion de la peinture dans ces récits équivaut à une réflexion sur la création, à travers les avatars du visuel.