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Cette troisième partie de La Femme pauvre au XIXe siècle met à jour l'ensemble des réglementations et dispositifs légaux qui fondent l'inégalité et les discriminations dont souffrent les femmes. Dans un langage précis et polémique, Julie-Victoire Daubié dresse une critique implacable de la société de son temps et prône un système où régneraient la justice et « le devoir imprescriptible et mutuel de solidarité ». Solidarité entre les sexes, mais aussi « entre le capital et le travail ». Vieille utopie...