Prix public : 23,40 €
Après s'être liés d'amitié pendant leur jeunesse à Portland, Jack, orphelin rebelle, et Billy, prodige du billard, se retrouvent à la prison de San Quentin dans les années 1950. « Sale temps pour les braves pourrait être mon candidat pour “le prix spécial“ du meilleur roman carcéral de la littérature américaine. » Jonathan Lethem « Sale temps pour les braves, c’est la littérature populaire à son meilleur. Le chef-d’œuvre méconnu de Carpenter n’est pas seulement un bon roman, c’est peut-être l’un des romans américains les plus importants des années 60. » George Pelecanos « Sale temps pour les braves est un livre unique ; violent, tendre, inexorable et mélancolique, un roman de la période beat retraçant l’histoire de Garçons sauvages sans l’euphorie de Sur la route, mais d’un fatalisme qui le rend d’autant plus déchirant et palpitant. Les vies ordinaires qu’il raconte sont inoubliables. » Richard Price « Sale temps pour les braves est un “autre“ Last Exil to Brooklyn. » The New York Times « On dit que Don Carpenter était un écrivain pour écrivains, adulé par les critiques et les romanciers pour son incroyable talent, la précision de son écriture, mais autant que je sache, il suffit à n’importe quel lecteur d’ouvrir l’un de ses étonnants romans pour être acquis à sa cause. Cet homme pouvait être hilarant ou vous briser le cœur et il savait écrire sur l’amour-propre et les faiblesses humaines mieux que personne. » Anne Lamott « Un pur roman américain, sans sensiblerie mais débordant pourtant d’âme et de cœur… Sale temps pour les braves est une rareté, un roman d’idées captivant et follement séduisant, à l’atmosphère éblouissante. Un héritage digne d’être préservé, saluons la NYRB pour cette réédition. » The Washington Post « Souvent sauvage, jamais cynique, Carpenter jette de l’or dans la poussière. » The Independent « Un écrivain absolument honnête, Don Carpenter ne fait aucune fausse note. » Robert Brustein « Plein d’une intensité passionnante… âpre et sauvagement picaresque. » The Charlotte Observer « Depuis Last Exit to Brooklyn, aucun premier roman n’a eu d’impact aussi puissant sur le lecteur. » Cleveland Plain Dealer