Prix public : 28,00 €
SommaireCorrespondance entre Max Alhau et Sergio Macías Brevis, Fermín Heredero, Carlos Patiño, Mario Campaña et Luz Samanez Paz ; Correspondance entre Nicole Barrière et Carmen Avila jaquez, José Muchnik, Amadou Lamine Sall, Françoise Coulmin et Philippe Pujas ; Correspondance entre Jeanine Baude et Mario Goloboff, Noé Jitrik, Abdelmajid Ben Jelloul et John Caíros ; Correspondance entre Claude Ber, et Bluma Finkelstein, Fabio Scotto, et Wassyla Tamzali ; Correspondances entre Sylvestre Clancier et Umberto Juarez ; Françoise Coulmin et Alan Dent ; Maurice Couquiaud et Teresa Salema Cadete ; Rome Deguergue et Alioune Badara Coulibaly ; Jean Guiloineau et Luis Mizón ; Œuvres de Theo Gerber.Quatrième de couvertureL’épopée de l’Aéropostale est un symbole : celui de la libre communication entre les hommes et les femmes répartis sur tous les continents. Les progrès des technologies, la rapidité des moyens de transport – la transmission mondiale du son et de l’image, l’instantanéité des messages électroniques – ont bouleversé les échanges. Toutefois, la lettre demeure, sous diverses formes, un modèle de ces nouveaux modes de partage de la parole.Dans cet esprit d’ouverture et de libre expression, le p.e.n. club français a choisi, avec le concours de La Fondation d’entreprise La Poste, d’engager une réflexion sur la place et le rôle de la littérature dans notre monde moderne en sollicitant la plume d’écrivains contemporains, dans les différents pays qui ont été concernés par la grande aventure de l’Aéropostale.Correspondances de sons, de langues, d’espérances, de souffrances, de maux et de mots, lettres postales ou courriels, lettres ouvertes, fables, proses ou poèmes, réquisitoires poétiques, propos philosophiques ou encore simples échanges amicaux : cet ouvrage entrelace des textes libres et variés. Liberté d’écrire pleine du respect de l’autre et des différences. Volonté de faire retentir en échos sur trois continents, Amérique latine, Europe et Afrique, les préoccupations de ces femmes et de ces hommes dont le métier, la passion, la responsabilité est d’écrire. Écrire pour dire, se dire, nous dire, leurs émerveillements, leurs engagements, leurs espoirs, mais aussi leurs désenchantements, leurs colères devant l’injustice, l’inégalité et les haines qui prédominent sur notre planète. Action collective menée par des écrivains internationaux dont les voix multiples se voudraient le prélude à une ouverture des consciences pour tous ceux qu’inquiètent les barbaries et les forces de destruction à l’œuvre aujourd’hui. Les échanges réunis dans ce premier cahier du p.e.n. club français nous transmettent ainsi, en toute simplicité poétique, quelques hypothèses de réponses à ce questionnement fondateur auquel l’écrivain du xxie siècle est chaque jour davantage confronté : Que peut la littérature en ces temps de détresse ?