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Ce recueil de 15 articles (avec deux appendices contenant des lettres au poète Cortines y Murube et à Eugenio Noel) parus dans la presse hispanique entre 1896 et 1936, nous donne le point de vue du philosophe, figure majeure de la génération de 98, sur la « soi-disant fête nationale espagnole ». Point de vue sacrilège puisqu’il rejette le jeu tauromachique comme symbole de l’hispanité, au même titre que le flamenco.