Prix public : 10,00 €
Début septembre 1958, Claude Gauteur reçoit une lettre, à laquelle il ne s’attendait pas du tout, signée François Truffaut, qui s’apprête à tourner son premier film, Les Quatre cents coups. Vingt-cinq ans plus tard, il reçoit un ultime billet « de la part de François qui renaît à la vie et vous remercie pour le dernier album. À bientôt, j’espère, amitié ». Entre temps ce sont quelque vingt-cinq lettres qui sont révélées pour la première fois, et qui ajoutent, ici et là, une touche au portrait du célèbre cinéaste. Il y parle de la préparation de ses films, de la presse de l’époque, de ses confrères cinéastes et de leurs oeuvres en gestation, de ses lectures, des films qu’il voit, et aussi de ses amis Jean et Dido Renoir, à qui il rend visite en Californie. Cette correspondance apporte un supplément d’éclairage sur la curiosité toujours en éveil de François Truffaut et sur son sens de l’amitié. Il y parle de la préparation de ses films, de la presse de l’époque, de ses confrères cinéastes et de leurs œuvres en gestation, de ses lectures, des films qu’il voit, et aussi de ses amis Jean et Dido Renoir, à qui il rend visite en Californie. Cette correspondance apporte un supplément d’éclairage sur la curiosité toujours en éveil de François Truffaut et sur son sens de l’amitié. L’auteur : Claude Gauteur, né en 1935, licencié en droit, successivement agent spécial du remembrement, journaliste au Film français, directeur de collections cinéma, chargé des publications de la Femis, a réuni et présenté des œuvres de Jean Renoir, Jean Cocteau et Sacha Guitry. Il a publié des essais sur Michel Simon, Jean Gabin, Jean Renoir, Georges Simenon, Louis Verneuil et Henri-Georges Clouzot.