Prix public : 20,00 €
Au sommaire de ce numéro : de la poésie en pays humide par Julien Bal, une enquête dont vous êtes les petites mains par leslie doumerx & numa kouassi, cinq points de vue sur un chien mort par Canin·e, des huisseries pour point de départ par Antonin Crenn, la mort d’un oiseau sous les coups de crayons de Mamoste Dîn, une histoire de convergence des luttes racontée par Marie Cabadi sur une invitation de Charlotte Thillaye en écho à etaïn zwer, des bâtiments alambiqués par Sacha Cardin, des cailloux, tout un tas, générés par Léo Duquesne, des murs effondrés par Reouven Naccache, des brèches dans le futur de la justice algorythmique par Mathilde Shoenauer Sebag et Alexia Falisse, la page blanche d’Alex Baladi, des méditations poétiques ou de la poésie méditative, enfin quelque chose d’inspiré, par Eva Genicot, une planche dessinée où Charlie n’y est pas mais avec plein d’autres choses à trouver par Georges le Godinec, les instruments de musiques aquatiques d’Arthur Lacomme, des réflexions pour l’avenir syndical par Olivier Starquit, des mythes anciens revus et inventés par Cèdre, le carnaval brésilien comme vous ne l’aviez (peut-être) jamais envisagé par Valentine Bonomo, une discussion entre playslists par Rubin Steiner, des algorithmes, encore mais en montagne cette fois avec Denis Deprez, des générations à la loupe et à la serpe par Maya Vitalia, des gâteaux de famille par Inga Padurari, le télétravail à l’épreuve de la poésie par Lou Dimay, un entretien de Lucie Combes qui l’air de rien brasse des milliards avec Alexandre Laumonier, des phrases longues dans toutes les langues grâce à Clara Nizzoli, des lichens qui se prennent pour des caractères typographiques avec Aldwin Raoul, le retour des poulpes avec Noémie Erb, un Jean-Pierre Monfrançais qui doute du bien-fondé de sa gouvernance, des masques dans le règne animal et des pixel qui se dissimulent sous l’apparence de nœuds de laine, bref des organismes bizarres plein les pages.