Prix public : 14,00 €
De Magali CharletIllustrations par Ambroise HéritierPréface de Pascal Pellegrino, Rédacteur en chef du Journal de la Région de CossonayVous trouverez dans ce livre trente-huit chroniques écrites entre 2016 et 2019 et parues dans le Journal de la région de Cossonay. Ça s’appelle Un peu de la vie et nous dedans parce que c’est ça qu’il y a dans le livre. Et ça s’appelle aussi Quelques chroniques, tome I parce qu’il y aura un tome II, si on a encore un peu de temps avant l’apocalypse de l’univers.« L’art de la chronique tient à si peu de choses. Comme dans une recette, il faut que chaque élément trouve sa place, ni trop effacé, ni trop présent afin de viser le goût juste. Je dis bien le goût juste et non pas le bon où le mauvais goût…Quand on possède le goût juste, on peut résolument ouvrir un restaurant. Cette allégorie pour définir les plats de mots écrits que concocte chaque semaine Magali Charlet en ouverture de la rubrique Loisirs du Journal de la Région de Cossonay, à l’enseigne de la chronique « Champ de Batoille »… Et franchement, c’est un bonheur sans cesse renouvelé de pouvoir déguster en primeur cette cuisine raffinée, épicée, remarquablement bien assaisonnée, croustillante, piquante, croquante et craquante à la fois.Lorsque nous sommes mardi, jour d’édition du journal et que je vois apparaître le courriel de Magali, c’est souvent pour me signaler 1) qu’elle n’a pas d’inspiration, 2) qu’elle n’a pas eu le temps de me livrer la chronique mais qu’elle me la livre ce soir (ou plutôt cette nuit) sans faute, ou 3) qu’elle est à peu près sûre que son texte ne me plaira pas et que je peux sans autre reprendre un ancien… De mon côté, ce courriel est invariablement accueilli avec un grand sourire, le sourire de la réjouissance de découvrir une nouvelle perle. Et je ne suis jamais déçu.Ce qui m’impressionne le plus, c’est qu’elle parvient à nous faire ressentir que son texte, elle l’a écrit en pensant à nous : elle trouve toujours le petit détail, le truc imparable qui fait que l’on se reconnaît tout à fait dans la situation qu’elle décrit…. » P. Pellegrino« C’est comme une gorgée de Go Ginger : on se réjouittoujours parce que c’est frais, ça pique juste ce qu’il faut,et à la fin on se sent plus vivant. » C., Vétroz