Prix public : 10,00 €
Après avoir abordé la maladie de son fils tout en racontant son rapport à la montagne dans « La montagne que personne ne voit », l’auteur poursuit sa quête philosophique et existentielle dans l'observation de la pente, comme pour y chercher l’intensité qu’il peut manquer à la vie quand on reste « en bas ». Parce que l’inconfort d’un sac de couchage sous une tente fouettée par la tempête, ça reste moins violent que les effondrements psychiatriques et les traitements médicamenteux. La montagne, c’est à la fois la résilience et l’illusion de la résilience.