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Les crises sociétales et sanitaires récentes ont remis en cause la pensée progressiste et moderniste. L’envie d’un monde meilleur, plus égalitaire, plus coopératif, plus apaisé, mais aussi plus frugal et moins consumériste, fait son chemin et rejoint, sur beaucoup de points, les idées fondatrices des utopistes. Rêver d’un monde meilleur, c’est penser une autre ville. Parler d’un « monde d’après » c’est déjà affirmer qu’on désire le construire. Cet ouvrage retrace l’histoire de l’utopie en urbanisme, analyse les enjeux éco sociologiques qui se posent à nous clairement et jette les bases d’un nouvel urbanisme de « l’après ».