Prix public : 12,00 €
Ce témoignage de la petite enfance et de la jeunesse de ma mère me permet de faire enfin son deuil. Par un petit recueil « Maman, toi qui m'as tant aimé » j'ai déjà rassemblé quelques poèmes et textes pour exprimer mon ressenti sur les dernières années de sa vie. Dans ce nouveau récit, c'est une autre part qui me rappelle d'où je viens et de la chance que j'ai eue d'avoir cette famille de colons ouverte à toutes ces cultures diverses que l'Algérie française pouvait offrir durant ces années. Il ne faut pas oublier que nous aussi, nous avons émigré ! Parce qu'il fallait survivre… simplement VIVRE ! et que rien n'arrêtait ceux qui voulaient s'en sortir. Il y avait eu ceux partis en Angleterre, au Québec, en Chine… et ceux qui s'étaient reconstruits en Algérie, là où se trouvait la possibilité de s'installer et de fonder une famille. Blandine Borence-Lelarge, fille, petite-fille et arrière- petite-fille de colons.