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L’eau changée en vain, ou l’eau changée en vin ? Bien entendu, ce n’est pas une faute d’orthographe ! Le miracle des noces de Cana montre que l’eau, ce liquide insipide, peut être changée en un très agréable breuvage. Mais n’étions-nous pas, nous aussi, sans saveur avant que le Seigneur ne nous régénère et fasse de nous de nouvelles créatures ? La vie divine est venue en nous et nous a transformés, tout comme l’eau l’a été aux noces de Cana.Pourquoi ceux qui ont « goûté au don de Dieu » et qui sont « tombés » ne pourront-ils jamais être amenés « à une nouvelle repentance » comme le dit le très difficile passage d’Hébreux 6:48 ? Peut-on croire que cette divine alchimie ne se réalise pas forcément chez tous ceux qui professent Jésus-Christ, que la conversion chez certains ne serait ni profonde ni salutaire ? Ceci signifierait que la transformation chez eux n’a pas été suffisante, qu’elle est restée superficielle et que leur « eau » n’a pas été changée en vin, mais en vain.Ce livre explique avec beaucoup de pertinence ce passage difficile de l’épître aux Hébreux. Il est surtout une importante mise en garde contre les fausses doctrines qui infiltrent actuellement l’Église et qui peuvent nous faire perdre ce qui fait notre saveur aux yeux de Dieu. Car ces hérésies ne sont-elles pas capables de nous amener insidieusement à renier notre Seigneur et Maître Jésus-Christ, tout en laissant croire qu’on le sert ?Un livre salutaire qui peut nous éviter le jugement de Dieu, comme le dit Pierre : « Il y a parmi vous de faux docteurs qui introduiront insidieusement des hérésies de perdition et qui, reniant le Maître qui les a rachetés, attireront sur eux une perdition soudaine. »