Prix public : 20,00 €
Rencontre de Giuseppe Verdi et Richard Wagner du 17.01.1858 Grâce à des lettres apocryphes proposées en hors-d’œuvre, première partie intitulée Le Sorelle vagabonde, il est prouvé, dans ce roman en partie épistolaire, que les compositeurs G. Verdi et R. Wagner se connaissaient bien et qu’ils s’étaient même rencontrés à plusieurs reprises ; curieusement, on doit les détails de l’un de ces entretiens au peintre Henri Fantin-Latour, qui y avait assisté en janvier 1858, dissimulé derrière l’une des colonnes du restaurant Le Dîner de Paris, situé passage Jouffroy. C’est le dialogue des deux musiciens qui est proposé dans le corps de l’ouvrage, lors d’un long déjeuner parfois interrompu par la venue de quelques stars de l’époque : on voit passer des artistes peintres, des hommes de lettres, des femmes tenant salon, des compositeurs, et même une future égérie… Tout ce petit monde va, bien sûr, parler musique, mais pas seulement, car certains des jeunes gens de passage ont des préoccupations plutôt en lien avec leur peu d’attirance pour les personnes du sexe ; d’ailleurs, qu’en est-il de Verdi et de Wagner ? Non ! Quand même pas ! Franchement, l’auteur va trop loin, ou peut-être pas?