Prix public : 34,00 €
Un concept novateur sur le traitement homéopathique des maladies des plantes. Avec cet ouvrage, l’auteur s’aventure sur un terrain inconnu et ouvre des perspectives encore insoupçonnables. V. D. Kaviraj, lui-même homéopathe expérimenté ayant traité par homéopathie, durant plus de 10 ans, jusqu’à 150 patients par jour dans le cabinet de campagne du Dr Chatterjee, en Inde, fit plutôt par hasard l’expérience du traitement homéopathique des plantes. En visite chez des connaissances en Suisse, on lui demanda de traiter par homéopathie la famille et les animaux domestiques. Comme le verger de pommiers était attaqué par la rouille, on lui demanda également conseil à cet égard. Les pommes présentaient des anneaux rouge sombre sur la peau et un besoin en eau accru. Les symptômes rougeur avec soif correspondaient à Belladonna, qu’il essaya immédiatement sur les plantes. À la surprise de tous, la rouille disparut. En outre, les pommes eurent l’année suivante un goût nettement meilleur. Pour Vaikunthanath Das Kaviraj, cela constitua une expérience clé. Au cours des douze années suivantes, il poursuivit des recherches intensives dans ce domaine, principalement en Europe et en Australie. Il utilise l’homéopathie pour les diverses maladies des plantes. En Australie, où il exerça son activité, sa méthode connut entre-temps un vif succès et fut largement appliquée. Lors des premières expériences menées pour se débarrasser des pucerons sur les roses, nous fûmes surpris de constater l’efficacité rapide et durable du remède homéopathique. Une seule pulvérisation a suffit à éliminer les pucerons en l’espace de 2 à 3 jours, et une autre pulvérisation ne fut nécessaire que 3 mois plus tard, toujours avec le même succès. La méthode a également fait ses preuves pour combattre le mildiou qui parasite la courgette et la vigne. L’ouvrage se concentre sur l’importance des éléments nutritifs, le traitement en cas d’infestation parasitaire, les maladies fongiques, virales et bactériennes, les blessures et la lutte contre les mauvaises herbes. Outre des remèdes homéopathiques connus tels que Calendula en cas de blessures lors du rempotage ou Calcium phosphoricum pour combattre la pourriture à la base de la tige, il utilise également des remèdes homéopathiques rares tels que Hyssopus pour traiter les maladies charbonneuses, Mentha viridis contre les parasites ainsi que Ocimum en cas de maladies de la tomate et Ricinus communis contre les parasites en viticulture. Un livre qui invite à réfléchir et qui pourrait bien révolutionner l’avenir de l’agriculture. L’homéopathie pour les plantes ouvre un domaine de recherche entièrement nouveau et passionnant, ce qui peut signifier un gain important pour l’agriculture. Qui connaît les limites de l‘homéopathie? Anne Sheptyck, Canada