Prix public : 39,90 €
La culture de coton biologique est introduite au Mali par le biais du programme HELVETAS pour le développement de la filière coton dont le but est la production de coton à base de matière organique comme fertilisant et la protection de la culture par des bio-pesticides et des plantes pièges. Au cours de cette étude, l'influence de la polyculture sur la dynamique des populations de l'arthropodofaune phytophage du cotonnier et de leurs ennemis naturels est réalisée dans les conditions agroécologiques de Katibougou dans le sud du Mali en vue de contribuer à la protection du cotonnier biologique. Le maïs et le sésame sont utilisés comme les plantes pièges dans deux modes de semis en intercalaire et en bordure. Le dispositif expérimental utilisé est un Carré Latin en trois (3) répétitions (blocs). Le semis des plantes pièges est effectué 16 jours après celui du coton. Sur l'ensemble des arthropodes recensés, 22% ont été attirés par les plantes pièges et 78% sont observés sur les cotonniers. Parmi ces arthropodes, 62% soit les piqueur-suceurs, 3% soit les phyllophages, 0,4% soit les carpophage, 14% soit les prédateurs, 2% soit les parasitoïdes et 19,15% autres. La culture de coton biologique est introduite au Mali par le biais du programme HELVETAS pour le développement de la filière coton dont le but est la production de coton à base de matière organique comme fertilisant et la protection de la culture par des bio-pesticides et des plantes pièges. Au cours de cette étude, l'influence de la polyculture sur la dynamique des populations de l'arthropodofaune phytophage du cotonnier et de leurs ennemis naturels est réalisée dans les conditions agroécologiques de Katibougou dans le sud du Mali en vue de contribuer à la protection du cotonnier biologique. Le maïs et le sésame sont utilisés comme les plantes pièges dans deux modes de semis en intercalaire et en bordure. Le dispositif expérimental utilisé est un Carré Latin en trois (3) répétitions (blocs). Le semis des plantes pièges est effectué 16 jours après celui du coton. Sur l'ensemble des arthropodes recensés, 22% ont été attirés par les plantes pièges et 78% sont observés sur les cotonniers. Parmi ces arthropodes, 62% soit les piqueur-suceurs, 3% soit les phyllophages, 0,4% soit les carpophage, 14% soit les prédateurs, 2% soit les parasitoïdes et 19,15% autres.