Prix public : 20,00 €
Table des matières<br>Introduction : Pour libérer les langues de la hogra, par Kenza Sefrioui<br>1- Zakia Iraqui Sinaceur : La langue française : langue de l’autre, mais aussi la mienne.<br>2- Jalal El Hakmaoui : Après l’empire, traduire.<br>3- Yassin Adnan : Un Bayt Al-Hikma marocain : pour une littérature citoyenne multilingue.<br>4- Abdou Filali Ansary : Entre diglossie et multilinguisme : peut-on initier un cercle vertueux ?<br>5- Mohamed-Sghir Janjar : « Une division du travail intellectuel sur une base linguistique ».<br>6- Abdellah Taïa : Aimer et tuer : Pourquoi j’écris en français ?<br>7- Mohammed Bennis : Une modernité en mouvement : pour une culture marocaine moderne de langue arabe.<br>8- Omar Saghi : Parler deux langues pour taire l’inégalité.<br>9- Abdelmajid Jahfa : L’arabe standard, langue vivante au sein de l’arabe marocain.<br>10- Fouad Laroui : De l’impossibilité de traiter de la question linguistique au Maroc.<br>11- Ahmed Farid Merini : L’étranger dans la langue.<br>12- Mustapha Slameur : « Dans le slam, la langue n’est pas une barrière. »<br>13- Nabyl Lahlou : L’arabe doit être une langue de liberté comme l’est la langue française.<br>14- Salim Jay : Si l’on se débarrassait de la langue de bois, il n’y aurait plus de « problème des langues ».<br>15- Driss Ksikes : Ma langue est la littérature.<br>16- Abdellatif Laâbi : Pour une articulation créatrice de nos langues.<br>17- El Khatir Aboulkacem : L’amazighe dans le Maroc moderne : de la négation à la constitutionnalisation<br>18- Fadma Farras : Tirra : le choix de la création moderne en amazighe<br>19- Kaoutar Ghilani : Switchons d’approche... Penser l’anglais au Maroc