Prix public : 22,16 €
Le succès de son (premier) concerto pour violon mettait Max Bruch au bord du désespoir : "Je ne peux plus entendre ce concerto" écrivait-il à son éditeur, considérant en effet qu'il empêchait d'accéder à ses autres oeuvres. Une erreur, comme le prouve Kol Nidrei - un adagio "sur la base de mélodies hébraiques", op. 47 - qui compte parmi les oeuvres les plus expressives de l'époque romantique pour instrument solo. Composé en 1881, il témoigne de l'enthousiasme du compositeur pour le chant populaire et est écrit dans un langage débordant de passion et de chaleur. Instrumentation: cello and orchestra op. 47