Prix public : 20,00 €
Le 21 avril 1931, Maurice Maréchal écrit à Lucien Durosoir : « Bien reçu les deux parties. J’ai déchiffré immédiatement la mienne au cello et j’ai pensé violoncellistiquement que vous ne manquez pas d’ironie d’appeler cela Divertissement et musicalement que c’en est un, charmant… pour l’auditeur ! Mais Bon Dieu que c’est difficile ! »Très difficile, en effet, cette trilogie ; et le défi technique n’épargne pas le pianiste ! L’éditeur a pourvu de parenthèses les notes que le violoncelliste peut éventuellement éliminer. Les interprètes ne regretteront pas leur peine en découvrant cette œuvre d’une très grande beauté et d’une indéniable originalité.