Prix public : 16,00 €
Résumé : Quatre pièces dont le point commun est d’être en leur temps parvenues au bord d’une création parisienne pour se retrouver finalement abandonnées sur la berge, à la suite du désistement du réalisateur, si ce n’était de son décès. (Voir avant-propos de l’auteur.) Auteur(s) : Georges Richardot vit à Vence (06). Auparavant, carrière à l’agence Havas : Paris, Nice, Dijon, Reims. Théâtre, poésie, romans, nouvelles, paroles de chanson. De la poésie à l’humour débridé. Encouragé dans ses débuts par Raymond Queneau, qui le guidera pour ses premières publications. « Sentinelle de l’inouï, vacataire de la solitude, Richardot… Le mot vibre de sensations ravivées jusqu’à l’extrémité des doigts, jusqu’aux extravagances de l’âme. Le ronron des songes et des mensonges tisse un voile prudent entre l’œil et les nerfs. Sans joliesse ni mode, une voix singulière qui frappe et accapare… » Patrice Delbourg, Les Nouvelles Littéraires, 27/01/1983. Théâtre : 2 créations en Alpes-Maritimes : Grande Licence (1969), En attendant l’Aurrr…eure (1987). Lectures publiques : Metz (Primé au Festival de l’Acte 1987), Bordeaux (1997), Marseille (2001). Gaïa prénom Terre, Chapitre.com, 2014. Monmeus ou les Salpêtrières de l’aujourd’hui, Chapitre.com, 2014. Mélanie-A Turner-Klimt ou la désespérance de l’art, Chapitre.com, 2014.