Prix public : 18,00 €
Résumé : Le Brestois Jean-Louis Pindy était l’archétype de l’ouvrier fier de sa condition, fier de son travail, avide de connaissances et de progrès social. Sa personnalité opiniâtre, sans concession et courageuse, l’a conduit à s’illustrer dans la Commune de Paris et à l’Association Internationale des Travailleurs. La Commune s’est achevée par la Semaine sanglante et l’incendie de Paris. Pindy, colonel de la garde nationale, met le feu à l’hôtel de ville, anéantissant ainsi des siècles de précieuses archives. La sagesse venant avec l’âge, celui qu’on surnommait l’Anarchiste, a compris que la liberté était avant tout celle de travailler, de penser, de s’exprimer et de militer. Réfugié en Suisse, il est resté ouvrier, expert en métaux précieux, jusqu’à la fin de sa vie. Auteur(s) : L’auteur, ancien ingénieur des Constructions navales, a publié des livres de souvenirs, des recueils de nouvelles et des romans historiques sur la vie de héros bretons. Sa mère le réveillait quand il était enfant, en lui chantant l’Internationale : « Debout les damnés de la terre… » Le livre le plus ancien de la bibliothèque familiale était l’Encyclopédie socialiste syndicale et coopérative de l’Internationale ouvrière (Aristide Quillet, 1912), ceci explique l’engouement de l’auteur pour l’histoire de la Commune de Paris et de l’Internationale.