Prix public : 22,50 €
Après Millénium, le deuxième tome de la nouvelle série de David Lagercrantz, Rekke & Vargas. Claire Lidman est morte depuis quatorze ans. Mais Samuel, son mari, refuse de l'accepter. Alors, lorsqu'il repère sur une carte de vœux une femme qui ressemble étrangement à Claire, il se tourne vers Hans Rekke et Micaela Vargas pour mener l’enquête. Ils sont sceptiques, et pourtant Rekke découvre des indices sur la photo qui poussent à croire qu’il s’agirait bien de Claire. Est-ce possible ? Et n’est-ce pas pour avoir l’occasion de retravailler ensemble que Rekke et Vargas ont accepté l’affaire ? Memoria plonge le lecteur dans la crise bancaire des années 90 et la bataille des oligarques contre l'ancien KGB. Ce deuxième volet de la série Rekke & Vargas de David Lagercrantz lève le voile sur des crimes aux répercussions désastreuses sur la vie de nombreux individus. Hans Rekke et Micaela Vargas inclus. Traduit du suédois par Rémi Cassaigne À propos de l’auteur Né à Stockholm en 1962, David Lagercrantz est journaliste et écrivain. Il acquiert sa renommée mondiale en imaginant les tomes 4, 5 et 6 de la série à succès Millénium de Stieg Larsson, traduits dans une vingtaine de pays. Memoria est le deuxième tome de sa nouvelle série policière lancée avec Obscuritas. " Passionnant. " Ici Paris "Lagercrantz bâtit une surprenante intrigue de thriller psycho-politique, net, chirurgical, sans graisse inutile, mêlant les fantômes de l’enfance de Rekke, la crise bancaire en Suède et les règlements de comptes entre l’ex-KGB et les oligarques. " Alain Léauthier, Marianne " Une morte refait surface sur une photo et un engrenage se met en branle avec des répercussions désastreuses sur la vie des protagonistes : on pourrait se croire dansun Harlan Coben sans la noirceur très particulière insufflée par David Lagercrantz, le journaliste-biographe-écrivain suédois qui avait repris la saga « Millénium » après la disparition de Stieg Larsson. Les chapitres courts, les dialogues nombreux et les scènes d'action bien rythmées rendent la lecture agréable." Isabelle Lesniak, Les Echos