Prix public : 22,50 €
New York, 2014. Alex a tout quitté pour faire le djihad. Ce départ brutal, son grand-père Ali ne l’accepte pas. Alors, pour le ramener à lui, il est prêt à lui livrer son histoire – et son plus terrible secret. Le Caire, 1954. Engagé sur le tournage du film Les Dix Commandements du légendaire Cecil B. DeMille, le jeune Ali s’imagine déjà un avenir radieux à Hollywood. Mais, lorsqu’il renverse contre son gré un cheikh très respecté, le climat déjà tendu du pays devient explosif, et Ali se retrouve au centre d’une crise politique sans précédent. Pour sauver sa peau, et ceux qui lui sont chers, il prend une décision désespérée : se rapprocher des Frères musulmans. Et, par la même occasion, de leur funeste dessein. Avec une parfaite maîtrise du suspense, Peter Blauner nous précipite dans l’histoire bouillonnante de l’Égypte et ébranle toutes nos croyances sur la famille, l’amour et la religion. À propos de l'auteur Peter Blauner est un auteur et scénariste américain. Il a écrit de nombreux romans policiers traduits dans une vingtaine de pays, dont L’Irréductible écompensé par le prix Edgar-Allan-Poe, mais aussi produit des séries comme New York, unité spéciale. Il fait son grand retour littéraire avec Adieu mes frères, sur lequel il travaille depuis vingt ans. « Un malström romanesque et historique absolument enthousiasmant » C'est à lire, Bernard Poirette « Par-delà les deux générations qui les séparent, qu’ont en commun Ali et Alex ? C’est la question qu’esquisse ce roman qui vaut aussi pour ses portraits désopilants de l’apoplectique Cecil B. DeMille, du narcissique Charlton Heston et, plus largement, de la vie mondaine, politique, militaire dans l’Égypte du début des années 50. Ajoutez à cela une belle histoire d’amour et voilà quelques heures passées en compagnie d’un roman bien fait et divertissant. » Les 80'', RTL, Nicolas Demorand « Il m’arrive rarement de découvrir un livre qui me rappelle pourquoi je suis tombé amoureux de la lecture. Adieu mes frères en fait partie. » STEPHEN KING « Captivant, Adieu mes frères se lit d’une traite et vous fera regretter un Caire dont le manque ne vous aura jamais apparu jusqu’à maintenant. » Forbes