Prix public : 8,10 €
Un premier roman sur la violence qu’on ne dit pas. Fin des années 1980. Une école d’ingénieurs, un bizutage, des soirées, les premières fois. Arielle, seize ans, fantasme les garçons et l’amour physique. Dans ce grand tournant de vie, elle va croiser le chemin d’Éric, un étudiant magnétique. Le départ de sa fille est l’occasion pour Inès de revivre sa propre histoire : la rupture avec un monde clos et pétri de traditions, la liberté d’une chambre seule, et puis, très vite, une grossesse, la solitude et le retour à la case départ. Alors qu’Arielle s’initie au désir et cherche son père biologique, les terreurs d’Inès s’éveillent. Et si la chair de sa chair entrait elle aussi en amour par sidération ? Un roman poignant où se côtoient la stupeur, la colère, la tendresse et une implacable lucidité. À propos de l’autrice Agnès de Clairville est née en Normandie et vit aujourd’hui à Marseille. Scientifique de formation, elle a d'abord travaillé la photographie, avant de se dédier à l'écriture. La poupée qui fait oui est son premier roman. « Lucide, étincelant, tendre [...] Un roman à la fois palpitant et salutaire. » Isabelle Potel, Madame Figaro « Le silence est enfin brisé. Mais la violence, elle, ne s’effacera pas. » Clémentine Eveno, Libération « Ce premier roman est un témoignage d'une force incroyable sur les violences subies par les jeunes filles en milieu étudiant. Un texte à mettre entre toutes les mains. » Nathalie Iris, librairie Mots en marge, PAGE des libraires « Le premier roman d’Agnès de Clairville est l’un des plus bouleversants de cette rentrée littéraire. » Valentine Ulgu-Servant, Vanity Fair