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<p>Le 20 janvier 2022, l’Assemblée nationale a reconnu le <strong>génocide du peuple ouïghour</strong> en Chine. Dilnur Reyhan redonne ici un nom et une voix aux femmes et aux hommes – écrivains, poètes, traducteurs, éditeurs, universitaires, chercheurs – qui ont été enfermés, «<span style="box-sizing: border-box; caret-color: #000000; color: #000000; font-family: 'Times New Roman', serif; font-size: 14.666666984558105px;"> </span>rééduqués », condamnés à mort ou à perpétuité.</p><p>Face à la destruction à marche forcée d’une langue, d’une culture, de tout un peuple, d’une civilisation, Dilnur Reyhan nous alerte aussi sur <strong>le sort tragique des femmes ouïghoures</strong> et en appelle à la solidarité des féministes françaises.</p><p><em>Les Apuléennes<br /></em>Dans la lignée de la revue <em>Apulée</em>, engagée dans la défense indéfectible des libertés et attachée aux voix du monde, <em>Les Apuléennes</em> proposent des entretiens, essais et analyses en résonance directe avec les enjeux et les perspectives actuels.</p>