Prix public : 6,90 €
À la terrasse du Cujas, une belette promène une sacrée crèmerie à l’avant de ses bronches, tandis que des bikers pas commodes se font chouraver leurs montures pendant le printemps de Bourges. Des scènes de séduction torrides autant que tropicales. Le retour du commissaire Lapoudre précédé de son flair proverbial. Des chevauchées motorisées et des gnons assaisonnés de marrons. Un parfum d’essence et de caoutchouc brûlé…Au garage la citron de Simenon, la Buick de Marlowe et l’Orient Express d’Agatha Christie, aujourd’hui, Quim Vargas roule en Harley Davidson, et ça décoiffe ! « Chromes et Châtiments » c’est la nouvelle aventure frappadingue du détective privé berruyer Quim Vargas, assisté de sa secrétaire plantureuse Brenda Lee et du grand Léon. Et c’est justement Vargas lui même qui raconte – puisque c’est lui, on tient une histoire de première main !J’ai déjà écrit lors de la sortie de « La Mégère portait des gants MAPA » que Quim Vargas est tombé tout petit dans le bain ou Frédéric dard, Pierre Dac et Furax ont fait leurs ablutions. Eh bien, je confirme : la potion magique opère encore, et la loufoquerie est au rendez-vous dans les pages de ce roman policier déjanté et pétaradant.Adieu les polars ronronnants, l’atmosphère glauque des bars de Brooklyn, les classiques poussiéreux pleins de suspense, de mystère et de toiles d’araignées… La bourrasque du roman policier berrichon emporte tout ! Un ton ironique, des jeux de mots et des calembours, l’inventivité, vous attendent à chaque paragraphe de ce bouquin un peu maboul.Après « La Mégère portait des gants MAPA » et « Chromes et Châtiments » Quim Vargas persiste et signe, il continue d’écrire : Je le sais, il vient de passer aux aveux ! Les gars, on en a pour quelques années frappadingues avec Vargas… si les chieuves enragées ne le mangent pas avant.