EAN13
9791090452244
Éditeur
MEMODOC
Date de publication
4 mars 2019
Nombre de pages
440
Dimensions
29 x 21 x 3 cm
Poids
1100 g
Langue
fre

Genealogies Perigourdines Tome Vi

G. De Blignieres

MEMODOC

Prix public : 39,00 €

En continuité avec l’œuvre du comte de Saint-Saud, une équipe de généalogistes et historiens régionaux publie ses recherches sur les familles du Périgord. Après un premier volume paru en 2014, voici huit nouvelles études :◆ Les FANLAC, provenant de la châtellenie de Montignac, devinrent seigneurs de Sainte-Orse dès le début du XVe siècle. Ensuite coseigneurs du lieu avec les Faubournet de Montferrand en vertu d’une première alliance, ils s’éteignirent au tout début du XVIIIe siècle, les mêmes Montferrand recueillant leurs biens par un second mariage.◆ Les LAGUT, originaires du Mussidanais, où, comme seigneurs de Mauriac, ils sont suivis du XIIe au XIVe siècle. La branche des seigneurs de Montardit migra à Agonac au XVe siècle, par une alliance avec la famille éponyme étudiée dans ce volume, avec laquelle elle est souvent confondue. Elle s’éteignit au XVIIIe siècle.◆ Les LA TOUR, seigneurs de La Tour-Blanche, antique lignage châtelain cité dès le XIe siècle. Trois branches se sont partagées cette seigneurie jusqu’au XIVe siècle, époque à laquelle toutes trois s’éteignirent. Leur héritage passa, directement ou indirectement, aux Bourdeille. Aucune publication n’existait sur ce lignage.◆ Les MAREUIL, maîtres de l’une des quatre baronnies du Périgord, sont cités dès l’an mil, et leur filiation se présume dès la fin du XIe siècle. Cette étude met en valeur leur implication déterminante tout au long des guerres franco-anglaises, dans les deux camps, laquelle ne sera pas sans incidence sur leur patrimoine. Les barons de Mareuil s’éteignirent au XVIe siècle et leur héritage passa aux Bourbon-Montpensier. Enfin, après avoir balayé les prétentions des Villebois-Mareuil, les auteurs proposent un rattachement plus réaliste des seigneurs de La Voûte, qui se continuèrent jusqu’au XVIIe siècle.◆ Les MARTIN de LA FILLOLIE sont issus de la région de Thiviers où ils parvinrent à s’agréger à la noblesse au milieu du XVe siècle. La branche aînée s’y continua jusqu’au début du XVIe siècle. La branche cadette s’établit à Burée, où elle s’éteignit au milieu du XVIIe siècle, son héritage passant aux Buade.◆ Les MONEYS, chevaliers du château d’Hautefort, sont connus dès le XIIe siècle. Au XIVe siècle, une branche des Boysseulh leur fut substituée − substitution méconnue − et leurs aînés, restés à Hautefort, s’éteignirent au XVIIIe siècle. La branche cadette des Moneys d’Ordières, passée en Poitou, revint en Périgord au XIXe siècle, où Alain de Moneys fut la malheureuse victime du drame d’Hautefaye. Cette branche s’éteignit en Gironde à la fin du XXe siècle.◆ Les MONTARDIT, chevaliers de Montagrier, sont connus dès le XIIIe siècle à Agonac, où leur fief éponyme passa aux Lagut dès le XVe siècle. La branche de Lascoux prospéra à Celles jusqu’au XVIe siècle, celle de La Beylie à Preyssac-d’Agonac jusqu’au siècle suivant. Les seigneurs de Dagnac et de La Valette ne sont pas rattachés.◆ Les RIBEYREY
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