EAN13
9791095419181
Éditeur
LAMAO
Date de publication
30 avril 2021
Collection
EN SCENE
Nombre de pages
62
Dimensions
21 x 16 x 8 cm
Poids
202 g
Langue
fre

Miramar, La Part Humaine

Olivier Daguerre, Louise Quillet

LAMAO

Prix public : 20,00 €

Daguerre livre un album<br>hommage au Miramar<br><br>Félix Dufour/Sud ouest du 1/04/2021<br>bayonne@sudouest.fr<br><br>Quand les dix spectateurs<br>se sont installés dans la<br>salle d’audition des écuries<br>de Baroja, masqués et assis,<br>Olivier Daguerre , tout de<br>noir vêtu et « Mimi », son bassiste,<br>ont applaudi jeudi<br>18 mars. « Merci d’être enfin là !<br>Enfin du public en chair et en<br>os ! », a lancé le chanteur originaire<br>de Garazi, la voix prise<br>par l’émotion. Et de présenter<br>« Ma peau », le premier morceau<br>de son nouvel album<br>« Miramar » (1) qui sortira dans<br>les bacs le 30 avril. Celui-ci est<br>composé de sept titres punchy<br>interprétés avec fougue,<br>comme une explosion après<br>un trop long silence.<br>Ce showcase confidentiel<br>concluait, au sein des écuries<br>du domaine, le séjour en résidence<br>pendant lequel le duo a<br>fignolé le spectacle qui permettra<br>la promotion de l’album<br>« Miramar ».<br>Pour cet opus comme pour<br>les deux précédents, Olivier<br>Daguerre a accompagné son<br>album d’un ouvrage. Il s’agit<br>d’une nouvelle signée Louise<br>Quillet – scénariste et autrice<br>de nombreux documentaires<br>télévisuels pour France 2, C8 et<br>W9 – intitulée « Miramar, la<br>part humaine ».<br>Petit Monaco basque<br>Le lien de ces trois artistes est<br>l’illustrateur strasbourgeois<br>Sarane Mathis, 24 ans, diplômé<br>de la Haute école des<br>arts du Rhin, qui a conçu la<br>photo et la couverture de l’ouvrage.<br>C’est la troisième fois<br>que la maison d’édition bordelaise<br>atypique LamaO Edition<br>renouvelle ce mariage<br>culturel de l’oreille et de l’écrit<br>pour Daguerre et confie l’illustration<br>à Sarane.<br>Mais alors, pourquoi Olivier<br>Daguerre s’est-il amouraché<br>de la plage Miramar, située<br>dans la prestigieuse station<br>balnéaire de la Côte basque,<br>au point de lui consacrer sa<br>dernière oeuvre ? « J’ai la<br>chance de vivre depuis vingt<br>ans à Biarritz et à cent mètres<br>de cette plage. Quand je grandissais<br>à Garazi, dans la maison<br>familiale où j’ai enregistré<br>le CD, on me disait que c’était<br>le petit Monaco du Pays<br>basque », explique avec nostalgie<br>le chanteur.<br>« Or l’océan est quelque<br>chose d’extraordinaire, qui<br>me fascine. Elle a cette particularité<br>d’avoir un centre-ville<br>totalement entouré par l’océan<br>où que tu sois et pour<br>quelqu’un comme moi qui a<br>toujours besoin d’horizon, ce<br>Miramar avec sa roche creuse<br>est devenu mon jardin, poursuit<br>le Basque. Biarritz est une<br>ville sublime hors saison. Et<br>cette plage est un lieu qui me<br>rassure et m’inspire. C’est là<br>que j’ai élaboré mes textes. »<br>Deux titres liés au Covid<br>La pandémie de Covid-19 a-telle,<br>elle aussi, atteint la sensibilité<br>de son dernier album ?<br>« Je le prépare depuis deux<br>ans, affirme Olivier Daguerre.<br>Mais il y a deux titres qui y<br>sont liés et m’interrogent<br>pour nous demain : « Ma<br>peau », qui parle du toucher et<br>« Tango », cette danse tellement<br>sensuelle, passionnée.<br>Quand nous retrouveronsnous<br>? Quand pourrons-nous<br>exprimer ces plaisirs<br>simples ? Je pensais que le<br>confinement allait nous ap
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