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La foi de l’individu peut-elle chanceler quand l’institution vacille ?<br /> L’Église romaine fait face à de nombreux scandales la mettant en cause dans des affaires de pédophilie et de viols, lui reprochant son silence, ou sa tentative de substituer sa propre justice à celle de l’État. <br /> Les fidèles voient la laïcité restreindre le témoignage et la pratique religieuse à la sphère privée.<br /> Ils assistent à un raidissement de nombreux clercs tentés par un retour à la tradition. <br /> Le pape François peine à imposer une ligne Pastorale plus humble, plus proche de l’Évangile. <br /> Et puis Notre-Dame s’embrase... <br /> Une catastrophe de trop ? Ou bien le début d’un questionnement personnel salutaire sur la nature et la forme de sa foi, de sa croyance, de sa façon de <br /> pratiquer en ce siècle de tous les bouleversements sociétaux et institutionnels.<br /> De cet incendie qui a touché le coeur de tous les Français, l’individu pourrait-il en ressortir plus fort, mieux croyant ?<br /><br /> Sociologue, polytechnicien, conseiller maître honoraire à la Cour des comptes, ex inspecteur général de l’Inséé, ancien président de la Commission du débat national sur l’avenir de l’École, <br /> Claude Thélot a écrit de nombreux ouvrages sur l’éducation. <br /> Dans ce nouvel essai, en tant que croyant et avec son regard de sociologue, il aborde le questionnement de l’individu sur sa foi quand l’Église catholique romaine est face à des scandales <br /> et des drames qui la font vaciller <br /> « Et pourtant, j’y crois...! » constitue une trilogie sur des thèmes actuels avec « Moi libre et roi » et « Radioscopie du pouvoir » (Lazare et Capucine)<br /><br />